Kanazoé Orkestra

Tout d’abord avec Mamadou Dembélé, spécialiste du n’goni, chanteur et compositeur, en qui il trouve son alter ego. Par la suite avec Stéphane Perruchet, percussionniste voyageur, expert des rythmes de Cuba et de l’Afrique de l’Ouest, Martin Etienne, Laurent Planells et Elvin Bironien, musiciens de Jazz, improvisateurs aux multiples facettes. Et enfin avec Zacky Diarra, grand griot, chanteur et témoin de l’histoire et de la culture du pays mandigue, qui rejoint le groupe en 2014. La musique de groupe est à l’image de Kanazoé et de ces musiciens. Énergique, virtuose, généreuse. Une fusion ‘balaphonique’ irrésistiblement dansante où se mêlent textes conscients, mélodies ciselées et improvisations endiablées.

Après la sortie de leur premier album « Miriya » en 2016 et plus d’une cinquantaine de dates à travers la France, le Kanazoé Orkestra revient pour un nouvel opus aux mélodies plus riches que jamais et des rythmes toujours plus entraînants.

Tolonso, c’est le nom du village natal de Seydou Diabaté, qui signifie en français « Maison de la joie ». Et s’il existe une recette pour communiquer de la joie, c’est bien le Kanazoé Orkestra qui la connait. Il suffit pour cela de prendre sept musiciens originaires d’Afrique et de France, dont la musique imprégnée par le son et les rythmiques du Burkina Fasso vient à la rencontre du jazz et se complète en invitant deux figures emblématiques de la world music. D’un côté Dobet Gnahoré, artiste ivoirienne de renom qui a reçu en 2010 un Grammy Awards et qui cumule plus de 160 000 fans sur sa page Facebook. De l’autre côté, Jean-Philippe Rykiel, talentueux pianiste qui a participé sur plus d’une cinquantaine de projets différents tels qu’Amadou & Miriam, Youssou N’Dour, Alexkid, Leonard Cohen, Salif Keita et bien d’autres encore. En mélangeant le tout, on obtient alors 14 titres originaux tout aussi prometteur les uns que les autres. Fort des résultats de ce premier album et d’une collaboration réussie, le label Buda Musique réitère son intérêt pour le projet qu’il prend à nouveau sous son aile pour assurer l’exploitation et la distribution avec Universal Music Publishing.

Si « Miriya » avait déjà un reçu un accueil très favorable de la presse, nul doute que ce deuxième opus devrait faire l’unanimité et séduire un public plus nombreux encore.